Le transport routier a son champion de la sécurité. Dans l’évolution d’un produit, tous les éléments sont à prendre en compte. Concernant le ralentisseur électromagnétique Telma, en plus d’une plus-value évidente en matière de sécurité et d’économie, il y a maintenant l’intérêt environnemental qui est pris en compte. De quoi s’agit-il ?
Le Telma, qu’affectionne autant les conducteurs que les gestionnaires d’entreprises, utilise la technologie électromagnétique (freinage par induction magnétique) qui garantit une disponibilité instantanée et inégalée de la totalité de la puissance de freinage, et ce, quelle que soit la vitesse du véhicule. Le ralentisseur électromagnétique Telma reste efficace même quand le moteur est coupé, ou lorsque la boîte de vitesses est débrayée. Le système, sans friction, est endurant et non polluant car le principe repose sur la variation du flux magnétique à travers une masse métallique comme l’a découvert Jean Bernard Léon Foucault en 1851. Une découverte française dont nous pouvons être fier … et qui perdure. Pas de frottement, pas de particules, pas d’impact sur la santé.
Olivier Saint-Cricq
Alors que les constructeurs de poids-lourds réalisent des prouesses lorsqu’il s’agit de réduire la pollution attribuée aux moteurs diesel, encore fallait-il mettre en valeur d’autres solutions complémentaires alors qu’aujourd’hui, en ville, c’est la nocivité de l’usure des plaquettes de frein qui inquiète. Le Telma, qui existe depuis quelques dizaines d’année est bien la solution idéale pour assainir l’environnement urbain, au moins face à la nocivité de l’usure des plaquettes de frein. Les médias n’en parlent-ils pas régulièrement compte tenu du dégagement des particules du au freinage des métros engendrant des pollutions souterraines.
« L’utilisation d’un frein à induction Telma, permet de réduire de 85% les émissions de particules fines dues au freinage, en plus d’un réel intérêt économique pour les entreprises, car les plaquettes de freins sont remplacées de 8 à 9 fois moins souvent » explique Olivier Saint-Cricq, directeur général de Telma qui insiste sur l’intérêt du système en ville et pour certaines utilisations comme la collecte des déchets ménagers « Dans ce cas, les camions sont très sollicités et les arrêts très fréquents. L’utilisation du Telma permet de passer très rapidement de 50 km/h à l’arrêt complet. L’économie est importante » poursuit le dirigeant. En effet, une B.O.M. conduite dans des conditions d’exploitation classique et sans grande précaution économique consomme vite 100 litres de gazole aux 100 avec des coûts d’entretien élevés qui sont largement réduits grâce au Telma.
Iveco, comme beaucoup de constructeurs, propose Telma en première monte
La gamme de freins à induction Telma comporte plus de 250 déclinaisons d’appareils adaptés aux véhicules routiers, délivrant des couples de freinage de 350 Nm à 3300 Nm. Conçue pour des montages sur ligne d’arbre, boîte de vitesses ou essieu moteur, l’étendue de sa gamme permet d’offrir une solution à de nombreuses configurations de véhicules avec une compatibilité de ses freins avec les systèmes ABS, EBS et ESP. Le système Qualité Telma est certifié ISO TS16949 et ISO 9001 (Gestion de la Qualité), ISO 14001 (Respect de l’Environnement) et OHSAS 18001 (Santé et Sécurité au travail). Le groupe Telma, implanté en France, en Allemagne, en Chine, aux Etats-Unis, en Inde, au Brésil et au Royaume-Uni, fabrique plus de 32 000 ralentisseurs par an, emploie 265 collaborateurs, livre 593 clients et offre 571 applications sur plus de 250 plates-formes de véhicules. Un réseau de distribution de plus de 350 agents représente la marque partout dans le monde.