Mardi une partie des salariés du siège a débrayé. Ce même jour, la direction de Renault Trucks, basée depuis les origines de Berliet dans la banlieue de Lyon, a annoncé le transfert des services informatiques du groupe Volvo Trucks chez HCL, une société prestataire indienne. D’où une inquiétude supplémentaire pour des équipes malmenées depuis plusieurs mois. La mesure annoncée mardi pourrait provoquer la suppression de 180 postes sur les sites lyonnais de Renault Trucks et de 1400 postes au niveau mondial du groupe. Il s’agit là du troisième plan social chez Renault Trucks après ceux de 2014 et 2015, avec déjà plus de 1000 départs.
Légende de la photo: Renault Trucks expose en ce moment au salon du véhicule industriel d’Amsterdam
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