Picq et Charbonnier : du papier au smartphone

De l’installation des premiers téléphones fixés en cabine en 1996 jusqu’ aujourd’hui l’envoi des missions sur terminal embarqué Strada, l’équipement technologique des transports Picq et Charbonnier a beaucoup évolué dans le temps. Pour son PDG, Christophe Charbonnier, les technos contribuent à l’image d’une entreprise innovante capable de gérer sans erreur plus de 400 commandes chaque jour avec un engagement de livraison nationale en 48h maximum. « Mais les technologies ne remplacent pas l’homme, elles aident surtout à la décision et automatisent les processus », explique le dirigeant qui a impulsé la digitalisation de l’entreprise à la fin des années 90. Du crayon et papier pour traiter les commandes le transporteur est passé au planning informatique sur le web, à la géolocalisation et au suivi des missions, puis a développé l’activité logistique, l’intégration d’un WMS et de systèmes de chargement filoguidés dans un nouvel entrepôt de 12 000 m2. Des projets plein la tête et soutenu par le Groupement Flo Palettes dont il est le président jusqu’en mai prochain, Christophe Charbonnier croit fortement aux véhicules au GNV et a créé avec Flo et Gazup une station dédiée qui ravitaille les 24 véhicules au gaz de la flotte. Il travaille actuellement à la migration sur smartphone des applications conducteurs de gestion/suivi des missions, à l’analyse des consommations via la solution Alerte gasoil ou encore à la digitalisation de la gestion du parc pneumatiques avec l’équipementier GoodYear. « Malgré des gains difficilement quantifiables, il est aujourd’hui inconcevable de rendre le transport performant sans les technologies ».

Retrouvez notre reportage grand format consacré à la digitalisation de Picq et Charbonnier dans le prochain numéro de TRM Le Guide…

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

LES DERNIERS ARTICLES

RECHERCHE D’ARTICLES