Ekolis Infinity fédère les télématiques de suivi de température

Plateforme d’agrégation de données, Ekolis Infinity fait la synthèse des informations transmises par les différentes télématiques de suivi de température utilisées par une flotte.

Avec sa plateforme Infinity, Ekolis centralise le suivi des températures du transport frigorifique, indépendamment des matériels et des sondes embarqués dans les véhicules. Le télématicien français facilite ainsi l’utilisation d’un parc hétérogène.

« Nous nous adaptons aux parcs de nos clients et nous centralisons les données de suivi des températures issues des différents systèmes embarqués dans leurs des remorques », explique Guillaume Perdu, fondateur d’Ekolis. « Les semi-remorques récentes sont équipées d’origine de boîtiers télématiques ou d’enregistreurs communicants avec lesquels nous sommes interfacés. Sur les véhicules plus anciens, Ekolis peut installer des balises de communication autonomes, connectées aux enregistreurs de température et aux groupes frigorifiques. Elles sont simples et rapides à mettre en place. L’objectif est de permettre aux entreprises de gérer tout leur parc à travers une même interface ».

Grâce à sa plateforme Infinity, Ekolis apporte aux entreprises une solution universelle, adaptable à tous types de matériels. Ce service permet aux transporteurs d’exploiter pleinement les fonctions connectées disponibles d’origine et de n’installer un matériel que lorsque cela est nécessaire. Que l’équipement embarqué ait été installé en première ou en seconde monte, Infinity assure un même niveau de traçabilité à l’ensemble du parc.

« Avec la plateforme Infinity, nos clients accèdent à toutes les données sans se soucier de leur source initiale en cas de parc hétérogène. L’interface avec certains TMS provoque des alertes paramétrables en cas d’écart de la température relevée à bord vis-à-vis de la température de consigne ou de la législation. Ces alertes s’adaptent à toutes les remorques indépendamment de la source des données et peuvent multicritères » ajoute Guillaume Perdu.

Crédit photo : Ekolis

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